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Le sport est-il bon contre le stress ?

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Votre quittez le bureau. Vous n'avez pas vu la journée passer ! Depuis ce matin vous êtes sous pression : les dossiers délicats se sont accumulés … et les tensions avec les collèges se sont accentuées. Heureusement, maintenant, vous avez rendez-vous avec vous-même ! Une petite heure de gym est au programme ! Vous allez vous détendre !

Le Stress, c'est quoi ?

Le stress constitue l'ensemble des réactions chimiques permettant de s'adapter à une situation nouvelle. Chaque fois qu'un problème différent se pose à votre travail, il faut y répondre … et vous stressez. Le corps libère dans la circulation des hormones stimulantes. Ce sont essentiellement des substances proches de la fameuse «adrénaline ». Pour aider l'organisme à assumer ces contraintes, le cerveau sécrète aussi des produits anti-douleurs appelés «endorphines ».

Le stress, ça sert à quoi ?

Le mécanisme chimique du stress n'est pas parfaitement adapté à notre vie moderne et sédentaire. Bien sûr, cette décharge hormonale éveille vos capacités intellectuelles et vous aide à assumer la pression mais elle fait aussi monter votre tension artérielle et surcharge votre sang en sucres et en graisses. Ce processus a surtout permis la survie de nos ancêtres. Lorsque l'homme de Cromagnon croisait un ours, il vivait un stress ! Il lui fallait s'adapter à cette situation inattendue, il lui était indispensable de fuir ou de combattre ! Il devait fournir un effort violent … et le stress allait l'y aider ! Ses hormones provoquaient l'accélération de son coeur et libéraient son énergie, il pouvait courir ou frapper ! Les «endorphines » réduisaient ses souffrances, il lui était possible de continuer la lutte malgré les blessures. Il survivait ! Son descendant pourra travailler dans un bureau et faire de la gym !

Le sport contre le stress, comment ça marche ?

Vous l'avez compris, le stress est une réaction de l'organisme particulièrement adapté à l'exercice physique. Aussi vous concevez aisément que le sport puisse être considéré comme un « consommateur de stress ». Tout se passe comme si les hormones et les calories libérées pendant la journée étaient brûlées au cours de l'effort !

L'entraînement se comporte aussi comme un « apaiseur de stress ». Le corps du pratiquant assidu prend la bonne habitude de mieux se reposer au cours des périodes de récupération. Le taux basal d'hormones du stress diminue. C'est pourquoi les sportifs entraînés, bénéficient d'un rythme cardiaque de repos plus lent que les sédentaires.

L'exercice physique est un véritable « entraîneur au stress ». Grâce au sport, vous habituer votre corps à décharger les hormones du stress. Ainsi, vous assumez plus aisément les tensions psychiques inhérentes à la vie quotidienne. Votre stock en substances stimulantes est plus important, vous risquez moins l'épuisement et la dépression.
L'exercice physique est source de « bien-être anti-stress ». Les «endorphines » produites à l'effort pour aider l'organisme à assumer les douleurs laissent au repos une sensation de plénitude. Ces hormones pourraient, en partie, justifier la dépendance psychologique aux activités physiques.

Le sport et tout particulièrement la compétition peut agir comme « régulateur de stress ». En effet, pour obtenir de bons résultats, il faut un minimum de motivation. Sur la ligne de départ, le cerveau un peu anxieux se met sous tension et s'éveille, les muscles et le cœur se préparent et bénéficient des quelques stimulations hormonales. Sans aucun stress, l'organisme ne parvient pas à entrer en action et la performance sera médiocre. Si la pression est excessive, l'activité cérébrale devient désordonnée et l'énergie est dilapidée avant que le starter ne lance les concurrents.

Au-delà du fonctionnement chimique de notre organisme, le sport recèle des «vertus psychologiques anti-stress » non négligeables. Nombre de sports techniques imposent de la concentration. Voilà qui oblige à se «changer les idées ». Souvent, la pratique physique s'inscrit dans un projet. Faire au mieux pour le mener à bien aide à se déconnecter de ses soucis quotidiens. Enfin, aller s'entraîner, c'est fréquemment l'occasion de «voir du monde ». Si la pratique sportive constitue le fil conducteur de ces relations, elle peut contribuer à tisser de solides amitiés. Dialogues, confidences et liens affectifs aident alors à exprimer puis à évacuer les tensions.

A CHACUN SON SPORT ANTI-STRESS

Les « introvertis » sont ceux qui encaissent sans riposter. Ils ruminent et ne parviennent pas à expulser les tensions. Souvent, leur corps exprime pudiquement leur imprégnation en hormones du stress et leur malaise. Ils se plaignent fréquemment de maux de tête, de douleurs abdominales, de serrements de gorge ou de souffrances vertébrales. Les « introvertis » bénéficient alors pleinement d'activités sportives exutoires particulièrement physiques. Les sports collectifs et techniques obligent à communiquer et à se concentrer, ils sont les bienvenus ! Le foot ou le rugby pourraient être conseillés. En revanche, la natation, le vélo ou le jogging permettent trop de ressasser leurs soucis.

Les « extravertis » sont ceux qui explosent à la moindre contrainte et n'arrivent pas à se maîtriser. Leurs cerveaux expriment trop aisément le stress ! Ils s'épuisent. Ils font souffrir leurs collègues de travail et leur entourage familial. Les « extravertis » profitent grandement d'une activité sportive canalisante, apaisante et régulatrice. Bien sûr, la dépense énergétique contribue à calmer ce type de personnalité ; les efforts d'endurances même solitaires peuvent être proposés. Les exercices imposant contrôle gestuel et détente paraissent également adaptés. Alors pensez au golf ou au yoga. Le VTT réalise un excellent compromis entre sollicitation physique et technique.

Attention, le sport c'est aussi un stress !

Désormais, vous l'avez compris, le sport est bon contre le stress … car il entraîne le corps au stress ! Le sport est un véritable stress ! C'est un stress physiologique ! il provoque les mêmes sécrétions hormonales !

Mais l'activité physique est aussi un stress psychologique. Afin d'assumer vos bonnes résolutions, pour maîtriser votre poids, pour coller à votre image de sportive, vous devez allez vous entraîner régulièrement. Sans votre séance de gym ou de cardiotraining, vous ne vous sentez pas bien ! Le sport est peut-être devenu votre drogue. Si vous ressentez le besoin de vous entraîner ; si vous êtes mal à l'aise sans vos efforts réguliers, les psychiatres pensent que vous êtes devenues dépendantes !

Le sport est un stress logistique et affectif. Souvent, votre cours de step du jeudi soir n'est qu'un rendez-vous supplémentaire au sein de votre agenda surchargé. Pour ne pas le rater, l'organisation de votre journée professionnelle doit être irréprochable. Aussi vous regardez votre montre dès le début de l'après-midi … vous êtes stressée ! Parfois même, vous avez l'impression d'empiéter sur le temps que vous pourriez consacrer à vos enfants et votre famille. Vous culpabilisez et vous stressez !

Si une activité physique trop contraignante vient s'ajouter à tous les stress du quotidien, elle peut vous faire basculer vers l'épuisement. Il est étrange de constater comme les signes de « surentraînement » ressemblent à s'y méprendre à ceux de la dépression. Réduction de l'activité, altération des performances intellectuelles ou physiques, troubles du sommeil ou de l'alimentation, plaintes corporelles multiples ou blessures à répétition imposent un avis médical.

Quel sport contre le stress !

Choisissez les activités qui vous conviennent ! Faites-vous plaisir à l'entraînement ! Selon votre personnalité «introvertie » ou «extravertie » (voir encadré ) optez plutôt pour un sport défouloir ou relaxant. Diversifiez vos pratiques sportives afin de ne jamais vous ennuyer mais aussi pour solliciter l'ensemble de votre organisme.

Modérez votre entraînement. Trop dur, trop longtemps, trop souvent et le corps se fatigue. Pour assumer, le quotidien, il doit augmenter la sécrétion en hormones stimulantes. Il est contraint à accroître votre stress ! Optez pour 3 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, à une intensité correspondant à un très léger essoufflement.

Organisez-vous souplement ! Si votre programme quotidien est très dense, renoncez aux activités trop éloignées de votre domicile ! Evitez les entraînements collectifs imposant des horaires rigides. Faites votre jogging quand bon vous semble. Abonnez-vous à une salle située à deux pas de chez vous ou profitez de votre salon pour faire un peu de gym en écoutant votre musique préférée.

Gardez du temps pour vous adonner à d'autres loisirs ! Si votre activité physique réquisitionne tous vos moments de détente, vous vivez votre pratique sportive comme une frustration, elle ne fera qu'accentuer votre stress !

« LE SPORT EST-IL BON POUR LA SANTE ? »

« LE SPORT EST-IL BON POUR LA SANTE ? »
Docteur Cascua Stéphane.
Editions Odile Jacob – 20,6 euros



Dans son livre, le docteur Cascua, médecin du sport, répond à cette question provocatrice. Il n'hésite pas à vous révéler tous les dangers du sport : mort subite, fracture de fatigue, arthrose, etc. Tout le corps peut souffrir. Loin d'être pessimiste, il vous fait part aussi de tous les bienfaits de l'exercice : prévention des crises cardiaques ou de l'ostéoporose, réductions des douleurs vertébrales, etc. Ponctué de savoureuses anecdotes, bourré de conseils pratiques, cet ouvrage vous explique clairement comment bénéficier du meilleur en évitant le pire. Il vous guide vers l'activité physique la plus adaptée à la santé, au plaisir et au bien-être.


. - 27 avril 2009.

Conflits d'intérêts : l'auteur ou les auteurs n'ont aucun conflits d'intérêts concernant les données diffusées dans cet article.

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L'iroman manque de fer, les autres sportifs aussi !

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Le fer est indispensable à votre santé et votre performance. Il constitue un élément central de l'hémoglobine. Cette dernière est contenue dans les globules rouges et lui donne sa couleur. C'est le fer qui capte l'oxygène lorsque le sang traverse les poumons. Il véhicule ce gaz précieux jusqu'aux muscles. Arrivé à destination, il largue sa cargaison qui permet alors la combustion des substances énergétiques et la contraction musculaire.

Quand vous courrez ou lorsque vous sautez, vos talons frappent le sol et le coussinet graisseux de votre plante du pied est écrasé. Il est traversé de nombreux vaisseaux sanguins. Les globules rouges présents éclatent et libèrent leurs hémoglobines. Le fer est libéré dans le sang et passe dans les urines.

Le muscle contient une sœur jumelle de l'hémoglobine, la myoglobine. Cette dernière, contient aussi beaucoup de fer qui fixe un peu d'oxygène. Cette petite réserve locale permet de débuter la contraction avant que les vaisseaux sanguins n'apportent le complément nécessaire. Quand vous ressentez des courbatures, vos membranes musculaires sont victimes de microdéchirures. La myoglobine et le fer quitte le muscle et gagne le sang. Le précieux métal est éliminé par voie urinaire.

Quand vous faites un effort, la majorité de flux sanguin s'oriente vers vos muscles. Il n'en reste que très peu pour le tube digestif et la paroi de la vessie. Ces organes souffrent du manque d'oxygénation et sont secoués à chaque foulée. De petites zones s'abîment et se mettent à saigner. Des globules rouges et du fer sont perdus dans les matières fécales et dans les urines.

Vous saisissez pourquoi les sportifs assidus manquent souvent de fer, surtout s'ils ne prennent pas soin de se concocter des « menus et recettes » adaptées. Les sportives sont encore plus concernées puisque à toutes ces pertes de fer s'ajoutent l'élimination massive de sang pendant les règles ! 

Voilà pourquoi, il est bon de réaliser occasionnellement une prise de sang pour évaluer le stock en fer de l'organisme. Ce prélèvement s'impose quand il s'agit de faire le point sur un état de fatigue. Il inutile de doser le fer circulant dans le sang car le corps parvient à le conserver dans les limites de la normale alors que les réserves sont au plus bas ! Il faut mesurer le taux de « ferritinémie » car cette structure constitue la forme de réserve du fer.

L'os se renforce ou fissure au contact du sport

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Chaque mouvement sportif constitue une sollicitation pour la structure osseuse. A chaque réception de foulée, le tibia du coureur de fond subit des impacts vibratoires. En déroulant le pas, le randonneur tord légèrement les petits os de son pied. Même le body-builders, en contractant puissamment ses muscles, tire sur son tissu osseux.

Chacun de ces microtraumatismes lèse un peu l’os du sportif. Heureusement, au cours de la période de repos, l’os tente de se reconstruire. S’il dispose du temps nécessaire, si on lui apporte les aliments indispensables, il se répare ! Il se reconstitue même plus fort qu’auparavant comme s’il voulait se préparer à de nouvelles agressions mécaniques. Ce phénomène est appelé par les entraîneurs le cycle de décompensation / surcompensation . Ce processus a été décrit au sein de nombreux organes et fonctions physiologiques : les muscles, le stock en énergie, les hormones, etc. Il est un moteur essentiel de progression.

Ainsi, il a été démontré que le marathonien bien entraîné avait des os plus solides qu’un sédentaire. En effet, sa structure osseuse plus dense, plus riche en fibres et en calcium. De plus, l’architecture microscopique de son os est parfaitement orientée dans l’axe des contraintes mécaniques.

En effet, la structure chimique de l’os est comparable a du béton armé. Le réseau de protéine représente les tiges en acier. Le calcium est comparable au béton qui englue ces axes métalliques. Au niveau de la hanche et du bassin la direction de la trame osseuse est tout à fait caractéristique. Sur une radiographie, on constate que les fibres partent du fémur, l’os de la cuisse, basculent vers l’intérieur, entrent de col du fémur pour résister au poids du corps posé sur les hanches. Les lignes de force en provenance de la jambe droite et de la jambe gauche se rejoignent au milieu du bassin et se soutiennent mutuellement à la manière de la nef d’une église.

L’activité physique associée à une alimentation suffisamment riche en protéines, en vitamine D et en calcium est un formidable moteur de la construction osseuse. Ce cocktail se montre particulièrement utile aux périodes charnière de la vie. Pendant la croissance, Il est nécessaire de manger 4 à 5 produits laitiers chaque jour pour édifier un os solide. Il faut également bouger : il est indispensable de pratiquer un sport imposant de la course et des sauts au moins 3 fois par semaines pendant 30 minutes. En l’absence d’impact, les os durcissent moins. Il a été démontré qu’un jeune nageur de compétition avait une densité osseuse plus faible qu’un sédentaire car il était privé de la gravitation pendant ces longues heures d’entraînement en piscine. De plus, la densification osseuse s’arrête à 25 ans. A cet âge vous avez constitué votre capital osseux pour la vie entière !

A l’âge adulte, le sport renforce très difficilement le tissu osseux et la quantité de calcium nécessaire à l’entretien de l’os est encore débattu. En cas de fracture, le repos de la zone brisée est nécessaire quelques semaines pour permettre d’ « engluer » la zone brisée. Au-delà, des sollicitations mécaniques progressivement croissantes se révèlent indispensables pour « mécaniser » le cal osseux. Là encore, elles permettent d’orienter la trame de l’os dans l’axe des contraintes afin de le préparer à sa mission. Une augmentation de l’apport en calcium en période de consolidation est proposée par certains médecins sans que son intérêt n'ait été vraiment démontré.

Après la ménopause, la trame osseuse se dégrade peu à peu jusqu’à rendre l’os fragile : c’est l’ostéoporose. Mesdemoiselles, souvenez-vous, votre résistance à la fracture du col du fémur dépend de votre alimentation et de votre pratique sportive avant 25 ans ! Si l’activité physique après la ménopause ne permet plus de densifier les os, elle réduit la perte de tissu osseux. Alors, il est conseillé de marcher voir de sautiller ou de trottiner. Il est bon aussi de faire de la gym douce pour entretenir la résistance des os à la traction. Afin de profiter au mieux de cette stimulation, il est à nouveau nécessaire de prendre 4 à 5 produits laitiers quotidiennement. Il faut également sortir tous les jours pour profiter du soleil et faire de la vitamine D indispensable à l’absorption et à la fixation du calcium. Les sports de coordination douce comme le Thaï Chi ou les « ateliers équilibre » ont prouvé leur efficacité pour diminuer le risque de chute et de fracture.

Si l’activité sportive est excessive, les microfissures provoquées par les impacts sur les os ne parviennent pas à consolider au cours du repos. Au contraire, ces lésions s’aggravent à l’entraînement suivant. Finalement l’os de fend de part en part, il se casse sans aucun traumatisme violent. C’est la fracture de fatigue. Chez une femme ménopausée, il a été mis en évidence que 6 heures de sport en charge par semaine pouvaient suffire pour briser insidieusement les os. Chez l’adulte plus jeune, ce type de blessure est favorisé par les carences alimentaires et les dérèglements hormonaux. Le manque de calcium, de vitamine D et de protéines altère la reconstruction de l’os victime de microfissures à l’exercice. Une insuffisance en hormones sexuelles diminue la stimulation des usines chimiques microscopiques chargées d’assurer la synthèse du tissu osseux. Ces altérations fonctionnelles se rencontrent en cas d’épuisement profond de l’organisme. Ce genre de surmenage est plus souvent diagnostiqué chez les femmes car il provoque des irrégularités du cycle menstruel puis une disparition des règles. La victime se retrouve en état de « ménopause précoce ». Chez l’homme cette souffrance hormonale est plus insidieuse mais elle existe et ses conséquences sur la densité osseuse sont comparables. Le cocktail surmenage sportif, carences alimentaires et disparition des règles se retrouve classiquement chez la jeune femme anorexique. Face à une fracture de fatigue, le médecin du sport se doit de rester vigilant. Il ne doit pas se contenter de soigner un « os ». Il a pour obligation de prendre en charge un individu dans sa globalité, il a pour mission de rechercher un surentraînement ou des troubles du comportement.



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Par le docteur Nicolas Lefevre

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